Au fil des semaines, Éléonore s’était habituée à cette indice endurant de tenue, où chaque jour semblait l’inviter à découvrir des domaines encore inexplorés d’elle-même. La gemme qu’elle avait gravée et choisie par exemple identité de sa libération était devenue un objet presque sacralisé dans sa us quotidienne. Chaque matin, elle prenait le temps de la résister entre ses doigts, fermant les yeux et donnant ses énergies s’imprégner de sa signification : une ancre dans le employé et un avertissement régulier que demain était entre ses tout. Mais, au-delà de cette sensation de sérénité naissante, Éléonore sentait une énergie plus large l’appeler. Cet appel n’était pas celui du passé ou de ses blessures résolues. C'était celui d’un avenir encore flou mais bourré de promesses. Lauriana Voyance l’avait la plupart du temps incitée à se joindre à ses appétits profondes, et sans plus attendre, ces appels semblaient se manifester par-dessous la forme de synchronicités singuliers. Des rencontres fortuites, des messages étonnantes, et des connaissance qui, bien qu’irrationnelles, se révélaient véritables. Un soirée, anniversaire, mariage, noël, ou même une communion spécial vint fixer cet état. Un matin, alors qu’elle parcourait distraitement ses courriels, une information attira son soin. L’émetteur était anonyme, mais le texte semblait étrangement approprié à elle : une sollicitation à adhérer à une sphère de point de vue sur l’intuition et le développement personnel. L’événement se tenait dans une petite grande ville à huit ou 9 heures de rue, dans un endroit entouré de forêts et de montagnes. L’idée même de s’y aliéner lui semblait en choeur intrigante et terrifiante. Pourtant, une petite voix en elle, celle qu’elle apprenait désormais à écouter, lui soufflait d’accepter. Le ajour venu, elle prépara un sac de peu, emportant son carnet, sa pierre gravée et quelques effets personnels. le parcours jusqu’au article de l’événement a été une variété de voyage initiatique en toi. Chaque kilomètre semblait tracer une course croissante avec les doutes et les peurs qui, des anciens temps, l’avaient vie à l’écart de ce genre d’expériences. Arrivée sur vie, elle a été frappée par la beauté du panorama : un étang scintillant bordé de pins, une grande famille en intention dont les fenêtres laissaient entrevoir une quantième chaude, et une atmosphère de l'harmonie qui semblait envelopper le tout.

Les semaines qui suivirent la retraite furent marquées par un essor riche et subtile chez Éléonore. Elle avait ramené de cette consultation par telephone un sentiment d'apaisement, et également une intentionnalité renouvelée qui imprégnait chaque esthétique de sa carrière répétitive. Chaque matin, elle s’installait censées sa « carte de tenue », préparait une tisane, et prenait un moment pour se relier à ses objectifs. Ce tic lui permettait de maintenir le cap, et aussi de réévaluer ses urgences au cours de certaines événements. Le souvenir de la session avec Lauriana Voyance était extrêmement têtu. Les enseignements qu’elle en avait tirés étaient devenus de quelques béquilles de son amélioration propre. Cependant, un esthétique spécial de son voyage restait encore incognito : les ' synchronicités ', ces coïncidences troublantes qui semblaient jalonner son chemin depuis qu’elle avait entamé ce process de évolution. Elle ébaucha à les empreindre dans un carnet particulier, les adorant non plus comme par exemple de certaines des occasions de faire la fête aléatoires, mais notamment de quelques arcanes laissés par un univers vigilant. Un aurore, dans ces conditions qu’elle feuilletait ce carnet, une phrase revenait lauriana voyance incessamment dans ses idées : « Chaque votre réponse se a dans le mouvement. » Cette type, en accord abstraite et évocatrice, la poussa à redémarrer une pratique qu’elle avait délaissée depuis la nuit des temps : la valse. Plus jeune, Éléonore avait trouvé dans la contredanse une méthode d’exprimer ses difficultés affectives, mais avec le temps, les obligations et l'anxiété l’avaient éloignée de cette technique. Elle s’inscrivit à un fil de danse contemporaine dans un seul studio de sa grande ville. Lors de première consultation, elle ressentit une appréhension familière, mais dès que la union ébaucha, quelque chose en elle se libéra. Les évolutions qu’elle exécutait, maladroits au départ, devinrent plus fluides à poésie qu’elle se laissait mentors par le rythme. La chorégraphie n’était non exclusivement de l'exercice ; elle était une portrait vivante de son cheminement : évoluer, tomber, se augmenter, recommencer.